Les efforts portèrent d'abord sur:
la suppression des canaux (de Vauban, des Stations )
le remplacement du système ancestral des "p'tits tonniaux "des "berneux" par des vidanges inodores,
le développement, après 1897, de l'éclairage des rues au gaz (5932 becs double Auer)
le captage des eaux d'Emmerin, puis de 1899 à 1902, la dérivation des eaux de l'Arbonnoise
la prise en charge du balayage des voies publiques et de l'enlèvement des boues ( 1905)
Parallèlement, une politique d'espaces verts fut mise en place sur les boulevards et dans les cours d'école.
En 1911, il reste encore 77 courées à Vauban, 70 à Esquermes, 114 dans le Vieux Lille
D'après Pierre Pierrard.
vieille comédie; place du théâtre