A noter la métamorphose, du sombre à la clarté, d’Annette Bening (qui a pas mal morflé depuis "Valmont") resplendissante au fur et à mesure de la découverte de sa part d'humanité une fois délestée de la culpabilité et celle de Naomie Watts, pourtant en service mini/mum* quand il s'agit de jouer les douleurs de l'orgasme et les joies de l'accouchement, lumineuse aussi passant de la détermination froide de working girl sans passé et sans avenir, à la chaleur courageuse de la gestation en solitaire.
* les anglicistes apprécieront.