Il est intéressant de rapporter ici les théories sur la densité du temps; pas seulement pour faire un reportage sur la question, mais pour les replacer dans un contexte plus ou moins "critique"; c'est-à- dire qu'elles seront citées pour leur avant-gardisme mais tout de même appréciées à la mesure de leur efficacité.
En effet, ce blog est construit principalement pour que les choses puissent être vérifiées, et de préférence même reproduites.
Ce qui est également recherché tout au long des articles du blog "antigravity" est l'implication de l'observateur dans la modulation de ses perceptions.
Tout ce qui se dit ou se fait sur la densité du temps relève de la physique du contrôle de la perception.
Exemple d'un intéressant sujet d'observation en principe hors -perceptions
Ci-dessus: la planète Vénus, avec une vue imprécise sur son double vortex transpolaire à chevrons. Ce type de vue - par l'instrument Virtis - témoigne de phénomènes hors-perceptions venant du centre de la planète. Les détecteurs par ondes radar et rayons X surprennent souvent des phénomènes "éthériques" en astrophoto- et vidéographie, Ces phénomènes ne nous sont généralement pas accessibles dans le visible (à cause de la densité temporelle), même si, dans le cas de Vénus, comme pour la Terre, les double-vortex centraux entraînent des phénomènes anticycloniques qui les suivent de très près, en climatologie de surface (LekienResearchPlan).
Autre exemple de distorsion temporelle: certains, sur ce site notamment, affirment que la photo ci-contre montre parfaitement le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antartique, sur notre terre: il n'en est rien, car les premières montagnes sont clairement définies sur ce cliché, même s'il a été pris dans les longueurs d'ondes voisines du visible.
Ce sont les reliefs topographiques qui sont ici "estompés" par des distorsions de densité temporelle, et non pas la "couche d'ozone".
La physique de la perception est le grand axe scientifique du troisième millénaire.
article en construction / a suivre