Jadis les intérêts du peuple passaient avant tout. Maintenant, ils sont secondaires. En fait, une petite partie de la société a acquis une grosse partie de la richesse nationale. Puisqu’on ne peut rien lui reprendre, il reste moins à répartir entre les membres de la société. Mais Tony Blair a cru à un miracle économique. Il a pensé que son pays était riche et a voulu en faire profiter les pauvres. Ce faisant il a endetté l’État.
Compléments :
- Le même phénomène aux USA.
- Peut-être n’y a-t-il ici qu’un mouvement naturel des choses ? De tous temps les riches ont voulu s’enrichir. Mais la guerre froide rendait dangereux un mécontentement populaire. Il l’est beaucoup moins depuis que l’URSS n’est plus.