Petit aparté :
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J’en profite aussi pour remercier celles qui publient mes articles sur leurs murs, je suis flattée et touchée. Les statistiques sont très bonnes, la fréquentation a sacrément augmenté et pour un blog tout neuf, c’est très encourageant et je vous le dois. Merci.
Allez, sujet du jour : je suis une quiche en cuisine. Genre lapin crétin appliqué à la bouffe...
Que les concernées se lèvent. Moi y compris. Car je n’ai pas honte de le dire, je suis nulle. (Pourquoi personne n’avoue ses faiblesses culinaires ? Y’a pas de malaise, on est entre nous… )
Les enfants de la classe de ma fille font mieux que moi quand ils préparent les gâteaux d’anniversaire du mois. Ils sont en maternelle. Moyenne section, je précise. La honte suprême (pire que les histoires de glands de Cricri et Zyg réunies, c’est dire…)
M’en fiche, j’achèterai des tartes dans un supermarché, et les ferai passer pour du fait maison. Pas le choix ; je suis une quiche et j’assume pas là pour le coup. Pas envie d’avoir la honte devant la maîtresse de la moyenne section.
Alors, quelles sont les limites de mes pouvoirs culinaires : c’est bien simple : œufs, steaks hachés et pâtes. Cuisson micro-ondienne illimitée. (Naaaaan, je plaisante). Et légumes aussi, cuits à la vapeur.
Le reste, je ne sais pas faire. Heureusement que d’autres savent, je m’en vais souvent les voir, d’ailleurs. Mac’(cra)Do, Quickounet, et bien sûr mon bon vieux Flunchy et le Chinois d’â coté qui assure question nems.
Sans eux, nous serions morts de faim depuis longtemps.
Pourtant, je me suis équipée d’appareils dernier cri (j’ai même un gaufrier !) mais je ne sais rien faire que de calciner le tout, même avec minuteur. A croire que je le fais exprès. Croyez-moi, je préfèrerais.
Du coup, quand ma chouquette de quatre ans veut cuisiner, c’est la panique à bord :
- Ma fille : « mamaaaaaaaaaaaaaaaan, on fait des crêpes ? »
- Moi (lâchement) : « euh, on va plutôt écrire ta lettre au père Noël non ? »
- Ma fille : « oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Qu’est-ce que je vais bien pouvoir trouver comme excuse quand le bon vieux bonhomme au manteau rouge sera passé ?!
Heureusement, cuire les légumes à la vapeur reste dans mes cordes (normal, mon auto-cuiseur s’arrête tout seul, il ne calcine rien, lui…) et ma fille vient m’aider à écraser carottes et pommes de terre pour le petit dernier qui ne mange pas encore de trop gros morceaux. Travaux pratiques indispensables donc. Pour l’instant. Car dans quelques mois, plus besoin d’écrabouillement. L’atelier bricolage / écrasement de légumes sera fini. Je vais devoir me mettre aux crêpes. Je stresse déjà.
Certaines personnes ont voulu me donner des cours ou des conseils mais je n’avance pas d’un pouce.
Normal, rappelez-vous :
Je suis et resterai nulle. Peut- être que je ne me donne pas les moyens ? Pourtant, ce ne sont pas les bouquins de recettes qui manquent…
En parlant de cela, je vous informe que demain, vous retrouverez sur le blog une autre nullasse de la cuisine qui s’assume : la moule alias Zyg (oui, celle qui cherche un mec dont je parle dans un de mes récents articles).
C’est ma première « guest star » (du coup, je suis devenue une star moi aussi ?) ; je décline toute responsabilité sur le sujet qu’elle va traiter à savoir « pas ce soir, chéri, j’ai la migraine » et vous prie de l’accueillir comme il se doit. (Demandes d’autographes comprises).
Pour l’heure, la quiche vous salue. Je vais tenter d’aller me faire cuire un œuf sur le plat (au sens propre comme au figuré d’ailleurs).
Un peu de respect pour votre blogueuse (préférée ?) et gardez en mémoire que pierre qui roule n’amasse pas mousse. (oui, je sais aucun rapport, mais c’est bien pour cela que vous m’aimez non ?)