Photo de André Bouchaud
Douillettement nichée
Au cœur d’une ruelle pavée,
La Mazarine vous charmera,
Vous enchantera, vous ensorcellera.
Equilibre et longévité
Vous y attendent.
Aux volets vert olive
S’attacheront deux cœurs tendres.
Ton sur ton,
Le portail protège l’entrée,
Une jarre de chaque côté
Sculpte notre vision.
Un doux parfum
Nous frôle,
Humons le romarin
Qu’un vent léger embaume.
Pénétrons en son décor,
Saluons dans le corridor
Une statue, un ténor
Qui nous conte encore
Qu’en son patio,
Une poignée de troubadours
Jonglait en langue d’oc
Prônant la courtoisie d’amour.