Orbel : poème Le racisme

Par Illusionperdu @IllusionPerdu

Le racisme

Depuis la nuit des temps, l'Homme n'aime pas l'autre ;

Qu'importe les acquis, la langue, les couleurs !

Le ciel peut envoyer le plus subtil apôtre,

L'âme de l'être humain piétine les valeurs

Dès qu'un de nous fut chef, il mit en esclavage

Le plus fragile afin d'être le dominant ;

Un être différent est, toujours, un sauvage !

En toute religion, le fait est culminant

Des grands pays d'Asie aux empires d'Afrique

Et des Etats Unis au sol occidental

L'Homme, par la splendeur de son ciel historique,

Déteste l'étranger du haut d'un piédestal

Vous prenez une langue ainsi qu'une culture

Un autre coloris, de suite un jugement

Est émis par celui haïssant la nature

Et n'acceptant, jamais, un autre sentiment

Ne jetons pas la pierre à de diverses faces

Car toutes sont à plaindre autant qu'à condamner !

Le racisme, croyez, connaît bien des surfaces ;

Le voisin le plus proche est, bien sûr, à damner

N'ignorons pas celui détestant sans complexe,

Les vieux et puis la femme et tout adolescent !

Le racisme, souvent, emprisonne le sexe !

Pourtant, le coloris coule du même sang

Le racisme n'est pas d'une seule nuance,

D'une religion, d'un unique parti !

Face à son entreprise, Untel, sous influence,

Veut être un ouvrier avant d'être apprenti