Le racisme
Depuis la nuit des temps, l'Homme n'aime pas l'autre ;
Qu'importe les acquis, la langue, les couleurs !
Le ciel peut envoyer le plus subtil apôtre,
L'âme de l'être humain piétine les valeurs
Dès qu'un de nous fut chef, il mit en esclavage
Le plus fragile afin d'être le dominant ;
Un être différent est, toujours, un sauvage !
En toute religion, le fait est culminant
Des grands pays d'Asie aux empires d'Afrique
Et des Etats Unis au sol occidental
L'Homme, par la splendeur de son ciel historique,
Déteste l'étranger du haut d'un piédestal
Vous prenez une langue ainsi qu'une culture
Un autre coloris, de suite un jugement
Est émis par celui haïssant la nature
Et n'acceptant, jamais, un autre sentiment
Ne jetons pas la pierre à de diverses faces
Car toutes sont à plaindre autant qu'à condamner !
Le racisme, croyez, connaît bien des surfaces ;
Le voisin le plus proche est, bien sûr, à damner
N'ignorons pas celui détestant sans complexe,
Les vieux et puis la femme et tout adolescent !
Le racisme, souvent, emprisonne le sexe !
Pourtant, le coloris coule du même sang
Le racisme n'est pas d'une seule nuance,
D'une religion, d'un unique parti !
Face à son entreprise, Untel, sous influence,
Veut être un ouvrier avant d'être apprenti