Il est une liqueur, au poète plus chère,
Qui manquait à Virgile, et qu'adorait Voltaire :
C'est toi, divin café, dont l'aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le coeur.
(Jacques DELILLE)
Il est une liqueur, au poète plus chère,
Qui manquait à Virgile, et qu'adorait Voltaire :
C'est toi, divin café, dont l'aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le coeur.
(Jacques DELILLE)