J’ai fêté Diwali en poésie, le 5 novembre, dans une cave du 10e arrondissement parisien, à l’invitation des Editions Paalam. Diwali est la fête des lumières en Inde. Nous étions une dizaine, évoquant Rabindranath Tagore et un fameux vers, que je traduis ainsi : « oh-toute-douce-chassons-le-vague-à-l’âme reviens-moi ».
![Diwali shamsurrahman](http://media.paperblog.fr/i/385/3855810/diwali-L-HaU2VQ.jpeg)
Ma poésie sera comme la jeune fille de la peinture de Quamrul Hasan
qui pile le riz avec le pied, celle qui tire du puits à la force des bras
au bout de la corde le seau rempli d’eau, dans la chaleur de l’été
ou le froid d’un matin d’hiver.
![Diwali Quamrul_Hassan_Uki](http://media.paperblog.fr/i/385/3855810/diwali-L-MOKS9L.jpeg)
Puis nous avons continué avec les poèmes du cinéaste lui-même. Rencontres irrégulières, toujours joyeuses, au cours desquelles les images du Bangladesh se mêlent à celles de la Marne ou de Paris. Cette soirée du 5 novembre, nous avons alterné textes en bangla et textes en français.
Vasudevan Kanagasabai nous a lu un de ses poèmes écrit directement en français, ses textes écrits en tamoul, et pour lesquels il a obtenu un prix, n’ayant pas été traduits.
Et la soirée s’est terminée avec des chansons.
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ci-contre, Uki, une toile de Quamrul Hasan