Ce beau récit que j’ai beaucoup aimé, paru en 1926, et qui vient d’être réédité, est le premier roman de la jeune romancière russe de 23 ans. Plus qu’une simple histoire d’amour, il s’agit ici de l’évocation de tout un monde aujourd’hui disparu, celui des années folles, juste après la première guerre mondiale où l’envie de rattraper le temps perdu, l’envie de rire et de s’amuser était alors la plus forte . Il n’empêche, les souvenirs douloureux de la guerre et des amis perdus assombrissent le héros et gâchent vite les plaisirs trop légers et les amours les plus authentiques. Rien n’est aussi simple qu’il le semble et les malentendus entraînent vite incompréhension et solitude dans ce monde nouveau où les changements n’apportent pas forcément le bonheur! Un roman d’amour des années folles, léger et classique à la fois, brillant par le style , délicieux à la lecture ! Le malentendu de Irène Némirovsky (Denoël, 2010, 169 p) Préface de Olivier Philiponnat
Ce beau récit que j’ai beaucoup aimé, paru en 1926, et qui vient d’être réédité, est le premier roman de la jeune romancière russe de 23 ans. Plus qu’une simple histoire d’amour, il s’agit ici de l’évocation de tout un monde aujourd’hui disparu, celui des années folles, juste après la première guerre mondiale où l’envie de rattraper le temps perdu, l’envie de rire et de s’amuser était alors la plus forte . Il n’empêche, les souvenirs douloureux de la guerre et des amis perdus assombrissent le héros et gâchent vite les plaisirs trop légers et les amours les plus authentiques. Rien n’est aussi simple qu’il le semble et les malentendus entraînent vite incompréhension et solitude dans ce monde nouveau où les changements n’apportent pas forcément le bonheur! Un roman d’amour des années folles, léger et classique à la fois, brillant par le style , délicieux à la lecture ! Le malentendu de Irène Némirovsky (Denoël, 2010, 169 p) Préface de Olivier Philiponnat