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l'histoire belge du jour -version photo- envoyée par Olivier
l'info à lulu:Ah ben tiens!Avant le mouvement de grève sur les retraites les médias qui vont bien nous causaient de: "l'affaire Woerth- Bettencourtpendant la période manifestive et effets de manche dans les assemblées constituées (de qui ,de quoi?) on nous parla de l'affaire Bettencourt car, par un coup de magie digne d'une soirée à la Patrick Sébastien -trop fort- leWoerth avait disparu.Et aujourd'hui... que les travailleuses, travailleurs ont rejoint leurs clapiers respectifs , que les assemblées ont signé paraphé, que le président de devant a mis vite fait et en pleine nuit son bon pour accord et journal officiel associé -ça roule ma poule-et que le Woerth a été remercié pour bons et loyaux sévices et bien...nous voilà revenu dans les titres de la presse qui sait en son âme et conscience à la rubrique: affaire Woerth-Bettencourt..Marrant non?
Lu dans le "Presse-Océan" du jour d'aujourd'hui:
"Le 12 octobre, elle se retrouve projetée au sol par deux policiers. Bilan : les deux poignets cassés.Violette Rivalin porte encore les stigmates de cette journée du 12 octobre 2010. Chacun de ses bras est protégé par un plâtre décoré de nombreux petits messages. Deux souvenirs douloureux d'une fin de journée tendue qu'elle ne s'explique toujours pas.
Il est 17 h 30, rue des Caboteurs. La manifestation contre le projet de réforme des retraites se disloque. La mobilisation a encore atteint des sommets. « Je cherchais mon fils. Nous étions tous les deux dans le cortège. »
Une plainte bientôt déposée
Aux abords du Ruban bleu « la situation paraissait calme. Je ne voyais pas d'agitation particulière, ni de fumées de gaz lacrymogène. Devant moi, je vois deux policiers en tenue. Ils sont de dos. L'un d'eux se retourne et me projette violemment au sol. Il a fallu que son collègue le calme pour qu'il arrête de me crier dessus. » Prise en charge par les pompiers, elle se retrouve à l'hôpital. Bilan : les deux poignets cassés et une interruption de travail de 45 jours. Violette, jure « ne pas leur avoir parlé », ni les avoir « menacés ». Elle ne « comprend toujours pas cet acharnement, cette violence gratuite. » Aujourd'hui, elle assure « avoir toujours du mal » à encaisser. « J'espère qu'il ne va pas me rester trop de séquelles. Je n'en suis pas sûre. »
Réparations
Un mois après les faits, cette auxiliaire de vie de 48 ans s'apprête à déposer une plainte. « Nous avons pris toutes les précautions pour que cette demande soit recevable », explique Philippe Dubacq, membre du Comité de défense des libertés fondamentales contre les dérives sécuritaires (Codelib) qui suit son dossier. Si une enquête est ouverte, elle devrait permettre de connaître exactement les circonstances de cette bousculade. Violette espère que « toute la vérité sera faite sur cette affaire. » Elle compte bien obtenir des réparations. « Je ne peux plus travailler. Je n'ai pas encore commencé ma rééducation. Financièrement, je subis une importante perte de revenu. »
Nicolas Aufauvre
L'info en plus
Le dossier de Pascal Vaillant avance. Grièvement touché au pied le 29 janvier 2009 par un tir d'un policier, sa plainte avait été classée sans suite par le procureur de Saint-Nazaire. Un juge d'instruction de Rennes vient de relancer l'enquête. La procédure devrait durer un an."Presse-Océan
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Et c'est Rémy qui fournit la vidéo:
et un ptit LU pour faire passer