J'étions, comme dans ma certaine habitude matinale, le nez dans le bol et les oreilles en électron libre se trémoussant heu...avec langueur au rythme de tous les bruits d'une ville dans sa moyenne existence allant dans le sens de son histoire quotidienne version milieu de semaine. Au milieu de tout ce fatras étouffé de changements de vitesse, radio en sourdine, babillements modernes de gosses sur le trottoir menant à l'école primaire, premiers bruits à l'oeuvre d'un bâtiment qui va tout va ...bien; je saisis parmi deux flots de paroles étouffés dans l'oeuf et trois descentes d'Earl Grey avec nuage de lait dans le gosier -suivez la flêche s'il vous plait- un adjectif qualificatif, employé avec une certaine délectation- me semblait-il -par une madame ministre rescapette du dernier ré-show-fait parisien et qui -virgule- me dis-je , servirait bien de mot du jour à ce blogaboulga estuairien à glander.-COMPETITIF- Ne trouvez-vous pas également comme mon moi du je dis cette expression d'une poésie ô combien savoureuse et surtout tellement imagée?En effet , mon esprit vagabond et transatlantique me renvoya aussitôt dans les mirettes, des cohortes -noires et blanches- et très eisensteiniennes de prolétaires battant le pavé et matraqués à leur tour par des légions robotiques chargées de faire rentrer dans le crâne du peuple des basses besognes la compréhésion associée à l'expression en question, à savoir, salaire en friche pour les plus chanceux et perte de boulot pour les autres; ce qu'on appelle gentiment, et avec suavité, dans les cercles nombriliens du pouvoir kiri et qui pète le feu: les effets collatéraux dûs aux délocalisations et courbes de croissance du régime wet tatcher. Car, pour être compétitif-traduisez: gagner toujours plus de poignon sur le poil étriqué des masses incultes comme il faut et laborieuses comme on les aime (et à la messe le dimanche si possible également), il faut pour notre bien naturellement et ceux blabla de nos n'enfants du plus tard, faire des efforts- promoncez AÎfort - en insistant sur la première syllabe -Mais, comment confetti?etbien Tout d'abord, en ne baissant pas Lagarde qui si vous n'allez pas à elle viendra surement -et dans le poste- avoue et aussi par quelques entourloupes dans les comptes dont les experts ont le secret d'Etat. Là-dessus vous saupoudrez largement de pet dagogie -autre expression très tendance- chez les- nous qu'on cause- et voilà, comme en 29 le tour est jouet.Et s'il faut en plus une ou deux bonnes guerres pour faire passer -ben pourquoi-pas- rien de plus productif que le crac boum hue- on fabrique, on casse et on reconstruit- le top mes biens chers frères de la loge semi-automatique P 64. Le mort au combat ou dans la plaine sa peine, ça mange pas de pain et ça fait moins de retraite à rembouser...Pensez-y...compéti-tifsAlors,bien dégagé derrière les oreilles, ça ira?
J'étions, comme dans ma certaine habitude matinale, le nez dans le bol et les oreilles en électron libre se trémoussant heu...avec langueur au rythme de tous les bruits d'une ville dans sa moyenne existence allant dans le sens de son histoire quotidienne version milieu de semaine. Au milieu de tout ce fatras étouffé de changements de vitesse, radio en sourdine, babillements modernes de gosses sur le trottoir menant à l'école primaire, premiers bruits à l'oeuvre d'un bâtiment qui va tout va ...bien; je saisis parmi deux flots de paroles étouffés dans l'oeuf et trois descentes d'Earl Grey avec nuage de lait dans le gosier -suivez la flêche s'il vous plait- un adjectif qualificatif, employé avec une certaine délectation- me semblait-il -par une madame ministre rescapette du dernier ré-show-fait parisien et qui -virgule- me dis-je , servirait bien de mot du jour à ce blogaboulga estuairien à glander.-COMPETITIF- Ne trouvez-vous pas également comme mon moi du je dis cette expression d'une poésie ô combien savoureuse et surtout tellement imagée?En effet , mon esprit vagabond et transatlantique me renvoya aussitôt dans les mirettes, des cohortes -noires et blanches- et très eisensteiniennes de prolétaires battant le pavé et matraqués à leur tour par des légions robotiques chargées de faire rentrer dans le crâne du peuple des basses besognes la compréhésion associée à l'expression en question, à savoir, salaire en friche pour les plus chanceux et perte de boulot pour les autres; ce qu'on appelle gentiment, et avec suavité, dans les cercles nombriliens du pouvoir kiri et qui pète le feu: les effets collatéraux dûs aux délocalisations et courbes de croissance du régime wet tatcher. Car, pour être compétitif-traduisez: gagner toujours plus de poignon sur le poil étriqué des masses incultes comme il faut et laborieuses comme on les aime (et à la messe le dimanche si possible également), il faut pour notre bien naturellement et ceux blabla de nos n'enfants du plus tard, faire des efforts- promoncez AÎfort - en insistant sur la première syllabe -Mais, comment confetti?etbien Tout d'abord, en ne baissant pas Lagarde qui si vous n'allez pas à elle viendra surement -et dans le poste- avoue et aussi par quelques entourloupes dans les comptes dont les experts ont le secret d'Etat. Là-dessus vous saupoudrez largement de pet dagogie -autre expression très tendance- chez les- nous qu'on cause- et voilà, comme en 29 le tour est jouet.Et s'il faut en plus une ou deux bonnes guerres pour faire passer -ben pourquoi-pas- rien de plus productif que le crac boum hue- on fabrique, on casse et on reconstruit- le top mes biens chers frères de la loge semi-automatique P 64. Le mort au combat ou dans la plaine sa peine, ça mange pas de pain et ça fait moins de retraite à rembouser...Pensez-y...compéti-tifsAlors,bien dégagé derrière les oreilles, ça ira?