Aujourd’hui le blog accueille Jean-Marc, grand et (vieux) Geek, père de famille phénoménal et surtout breton, pour sa confession de switcheur.
Il a accepté très gentiment de tremper sa plume dans la bière pour vous raconter son passage progressif mais déterminé vers le monde Apple.
Il vous expliquera aussi sa problématique d’utiliser son iMatos dans son environnement professionnel.
CONFESSIONS D’UN SWITCHER QUI S’IGNORAIT
1/ Premiers pas sans s’en rendre compte
Tout a commencé après des mois de résistance face à un achat déraisonnable, par l’acquisition de l’iPhone (l’iPod shuffle acquis précédemment était juste un gadget, walk-man amélioré me servant tous les 36 du mois et m’ayant surtout donné des boutons lors de son utilisation avec iTunes alors qualifié par mes soins de iComprends rien…).
Bel objet que ce 3GS (oui Fred, je sais, c’est ballot d’acheter un 3GS quelques semaines avant la sortie du 4, mais c’est ça, la compulsivité impossible à retenir plus longtemps…).
Achat superfétatoire s’il en est, s’agissant d’un mobile personnel peu utilisé, mais qu’importe, avec ce téléphone magique, j’entre dans la communauté Apple, et découvre que finalement c’est plutôt simple, tourné vers l’utilisateur, et sympa, à l’opposé de windaube, quoi…
Et là, c’est le grand jeu : installation d’iTunes, mise à jour de l’engin, ajout régulier d’applications toutes aussi fun les unes que les autres…
Je deviens presque un connaisseur une fois avoir sauvegardé et rebooté 3 fois l’appareil suite à des manipulations, disons… un peu hâtives ^^(note de Fed: c’est ce qui arrive quand on ne lit pas le Flux…)
Quand sur les conseils d’un ami je réussis le simplisme jailbreak, un nouveau monde s’ouvre à moi, non seulement je suis « in », mais surtout j’ai réussi une manip que je n’aurais jamais pensé aussi simple
Évidemment, face aux applications diverses et variées de l’iPhone, le blackberry devient lourd car moins complet… Je suis tenté de mettre ma carte sim de boulot dans la baguette magique, mais y renonce pour 2 raisons : pourquoi user + que de raison un achat personnel coûteux, et doigts palmés obligent, je ne crois pas pouvoir atteindre avec l’iPhone la même dextérité qu’avec le clavier du blackmachin…
Alors qu’importe, les 2 cohabiteront désormais, et c’est aujourd’hui toujours le cas : appels professionnels et gestion de mails (et de pièces jointes, très pratique la micro carte SD dans le BB…) avec le téléphone professionnel, et tout le reste via l’iPhone, la connexion quasi permanente est d’une utilité folle, je trouve des bars n’importe où je me trouve, je me perds moins grâce au GPS, sans compter que je peux à loisir voir comment mon équipe hattrickienne n’avance pas…