Dans le film : Gangs of New York magistralement interprété par Leonardo di Caprio, Daniel Day Lewis et Cameron Diaz nous assistons à l’affrontement physique de deux clans qui se partagent le territoire des Five Points dans l’état de New York en 1862. À cette époque, les Irlandais émigrent à raison de 15 000 personnes par semaine ce qui déclenche des crises de racisme et de xénophobie de la part de certaines bandes de criminels qui contrôlent les Five Points une des partie les plus pauvres et les plus violente de l’état de New-York.
De plus, les États-Unis sont en plein recrutement car la guerre de Sécession fait rage depuis deux ans entre le Nord et le Sud. C’est aussi une histoire de corruption politique et de contrôle entre ceux qui se disent les natifs du pays et les nouveaux arrivants soient les Irlandais, les Allemands, les Hollandais, les Asiatiques et les Noirs.
Dans cette partie de la ville tout ce règle par la violence, les bains de sang et le crime. Même les corps policiers sont impuissants devant cette population en révolte contre leur sort d’exclus et de condamné à une immonde pauvreté, à un semi-esclavage.
La violence appelle la violence. Le désir de vengeance appelle le crime. Le sang appelle le sang. Five Points, c’est l’enfer sur terre. Ce film, basé sur des faits historiques, nous démontre que la violence se retourne contre ceux et celles qui en vivent et qui s’en servent afin d’assouvir leurs désirs de toutes sortes.
Par la loi d’attraction, nous savons que nous attirons à nous par nos pensées, nos désirs, nos paroles et nos actes, les choses que nous désirons.
La violence est la solution : des tyrans, des faibles, des impuissants, des inconscients, des révoltés et des frustrés.
Une violence plus subtile est de régner sur notre entourage par la peur qui est aussi l’arme préférée des lâches, des peureux et des faibles.
Quand nous sommes conscients ne nos lacunes personnelles et professionnelles, la réaction de tout être humain sain de corps et d’esprit sera de chercher la solution dans l’étude de soi, de ses carences et comment développer et améliorer ses connaissances et ses habilités naturelles.
La violence, sous toutes ses formes, fait de nous des monstres et non des êtres en évolution constante tout en grugeant nos énergies.
Quand j’étais plus jeune, il y a plus de 30 ans de cela J, je faisait des colères terribles à faire descendre les murs et à faire écrouler les plafonds. J’ai cessé le jour où mon père me demanda de cesser ces crises qui le rendait malade. Le pauvre homme ne comprenait pas ce qui se passait et craignait pour moi et mon avenir… avec raison. Aujourd’hui, je me mets très rarement en colère car je suis consciente, enfin, que cette émotion négative dévore une quantité colossale d’énergie que je peux utiliser à meilleur escient.
Je vous souhaite la Paix et la sérénité dans votre Vie !
Tous vos commentaires sont grandement appréciés :-)))
Jocelyne Choquette
Conférencière et coach.
www.jocelynechoquette.net