Parallèlement à ce plan de réensemencement, l’Ifremer étudie une nouvelle alternative avec l’introduction de souche d’huîtres japonaises afin de tester leur résistance au virus. «Si c’est le cas nous devrions le savoir d’ici deux mois. Et si elles résistent, nous pourrions revenir à un état des stocks d’ici deux ans», précise Oliver Laban. En attendant, les 350 entreprises conchylicoles restantes sur le Bassin d’Arcachon, contre 1000 dans les années 80, vont devoir augmenter leur prix en cette fin d’année de l’ordre de 30 à 40%. •
Stella Dubourg’îé