Rien, dans le programmatique tombereau biannuel de marchandises livresques implorant le pilon qu’on appelle avec une bonasse perversion de journaliste rentrée littéraire, ne laissait espérer cet Inigo.
Il y avait bien peu de chances que j’achète ce livre, comme tant d’autres accroupi aux étalages d’octobre. Cet Inigo de titre, en effet, ne m’évoquait rien du tout ; le mot même de…