Fulvio, Christophe, Peter et les autres, tous membres condescendants et visqueux des partis obligés des riches résidents et parfois citoyens, se démènent comme de petits diables pour contrer l’inéluctable montée du oui.
Ici on cache les résultats d’un sondage, là on tripote les arguments avec plus de mauvaise foi que d’habitude, là-bas on pleure au naufrage national.
Avant de glisser autre chose qu’un oui dans les urnes , il faut bien se souvenir que la Suisse romande n’est en rien touchée par cette initiative et que seuls les cantons alémaniques primitifs et assimilés vont devoir cracher au bassinet, et encore, seulement pour une toute petite classe de riches qui en a largement les moyens.
Ces cantons qui ne cessent de briser le pacte fédéral, y compris en pompant sans honte dans les réserves romandes des caisses-maladie, ne méritent que la monnaie de leur pièce : un oui franc et massif imposé par la Romandie et par trois cantons alémaniques fiscalement raisonnables, Berne, Bâle et Zurich.
La seule façon de les rappeler à l’ordre est le porte-monnaie, puisque d’intelligence ils n’ont pas et de cœur plus.
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