Outre la dégradation de leurs comptes, Mme Merkel a laissé entendre que le futur système de contrôle de gestion des États européens ne rembourserait pas totalement les créditeurs d’un pays en difficulté. Ce qui a fait peur aux dits créditeurs…
Dilemme du prisonnier ? Mme Merkel est probablement plus préoccupée de l’opinion et de la cours suprême allemandes que des intérêts européens. Mais en cherchant à plaire aux siens, elle fragilise les pays les plus fragiles de l’union, ce qui pourrait amener les Allemands (et quelques autres) à devoir les renflouer.
Compléments :
- Subtilités de la crise irlandaise.
- L’Europe fait peur aux marchés financiers.