Ca y est, Nicolas Sarkozy a tranché, et la montagne a accouché d'une souris!...
En renommant François Fillon, que j'apprécie, Nicolas Sarkozy a fait aveu de faiblesse. Il s'est laissé dicter sa conduite par les parlementaires UMP et, face à la fronde qui se profilait avec la possibilité d'un François Fillon en recours, il a préféré jouer petit bras et garder celui-ci à l'intèrieur du gouvernement plutôt qu'en électron libre.
Ce rôle d'électron libre, c'est donc Jean-Louis Borloo qui va l'assumer, lui qui a mal vécu l'humiliation subie lors de cette longue hésitation présidentielle. Avec le risque de voir se fédérer…