Le modèle de base, sans les touches OLED, est vendu 460 $ et le modèle haut de gamme 1500 $. Il est également possible d’acheter des touches à l’unité (10 $). Selon Art Lebedev, à l’origine du projet, il ne reste que quelques détails à peaufiner avec le firmware — qui ne peut être mis à jour pour l’instant — avant que le clavier soit distribué.
Optimus Maximus n’est pas le nom d’un général romain tiré d’une aventure d’Astérix et n’est pas non plus un vaporware, comme certains ont pu le croire jusqu’ici. S’il reste à ces sceptiques la moindre parcelle de doute quant à l’existence réelle de ce clavier, ces images captées au CES de Las Vegas devraient finir de les convaincre :
Le modèle de base, sans les touches OLED, est vendu 460 $ et le modèle haut de gamme 1500 $. Il est également possible d’acheter des touches à l’unité (10 $). Selon Art Lebedev, à l’origine du projet, il ne reste que quelques détails à peaufiner avec le firmware — qui ne peut être mis à jour pour l’instant — avant que le clavier soit distribué.
Le modèle de base, sans les touches OLED, est vendu 460 $ et le modèle haut de gamme 1500 $. Il est également possible d’acheter des touches à l’unité (10 $). Selon Art Lebedev, à l’origine du projet, il ne reste que quelques détails à peaufiner avec le firmware — qui ne peut être mis à jour pour l’instant — avant que le clavier soit distribué.