Le statu quo, l'impression de stabilité (des schémas de pensée, des modèles, etc...) donnent un sentiment de sécurité.
Le challenge du statu quo, la tolérance au changement et l'agilité donnent un sentiment de mouvement, de flexibilité. Plus rassurant ?
Dans un environnement nouveau où il y a certes des études de cas, des slides, des vidéos disponibles, etc... les organisations doivent toujours autant composer avec :
- leurs atouts
- leurs contraintes
- leurs propres ressources
- leur historique
- leur capacité d'iteration
- leur audacité
Ce qui est pertinent, populaire aujourd'hui ne le sera pas forcément plus tard.
C'est aussi un point important lorsqu'on choisit la structure pour laquelle travailler. Est-ce dans une optique de défense d'un statu quo, d'une approche qui fait de moins en moins ses preuves ? Ou bien, dans celle d'une ouverture, d'un développement, d'un mouvement, d'un dynamisme ou de remises en question ?
Dans le jeu de l'influence gagnante, les mavens sont ceux qui veillent et qui ont une richesse d'informations.
Sur le plan du B to B, cela est un avantage considérable pour se positionner en leader de pensée et offrir un contenu remarquable via des webinars, des conférences, des articles, etc...
Les mavens peuvent aussi évangeliser sur les pratiques (actuelles et/ou émergentes) en interne. Ci-dessous, une vision de l'apprentissage informel par l'université de Princeton. A cela, nous pouvons ajouter l'impact des technologies sociales dans les 70% et les 20%. Leur valeur se situe dans :
- la force de détection des personnes et voix influentes
- des signaux faibles et des innovations
- leur capacité de transmission du savoir, de persuasion de mobilisation (en interne)
- ainsi que l'appréciation de l'impact sur la structure
Du coup, cela donne un point absolument positif à l'usage des réseaux sociaux en entreprise. Un des objectifs forts pourrait devenir celui d'encourager l'apprentissage informel et le partage des connaissances acquises, au service du collectif, de la structure.
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