Les versements sur une assurance-vie sont destinés à augmenter ou constituer le capital. En fonction du profil du souscripteur, les versements d’assurance-vie peuvent se dérouler selon trois scénarii différents.
Le versement d’assurance-vie peut ainsi correspondre à une prime unique, enregistrée sur le compte à l’ouverture du contrat. Si l’assuré souhaite par la suite ajouter des fonds sur son compte, un nouveau contrat devra être établi. Les versements d’assurance-vie peuvent également être périodiques : à date fixe, un montant choisi au préalable est versé par l’assuré sur son compte. Enfin, les versements d’assurance-vie peuvent être libres, c’est-à-dire que l’assuré dépose quand il le souhaite des sommes sans limite de montant.
Dans la plupart des cas, les versements d’assurance-vie combinent plusieurs de ces possibilités. Un capital est ainsi placé dès l’ouverture du compte, puis augmenté au fil du temps par les mensualités des versements périodiques. Le contrat prévoit parfois un prélèvement mensuel pour les versements d’assurance-vie, tout en ménageant à l’assuré la possibilité d’effectuer des versements libres en cas de rentrée d’argent.
Les versements d’assurance-vie peuvent également être faits par l’assureur, soit au terme du contrat dans le cadre d’une épargne retraite (sous forme de rente viagère ou d’un seul versement), soit dès le début de la souscription lorsque l’assuré fait un versement de prime unique. Sauf contre-assurance ou clause de réversion en faveur du conjoint, le décès de l’assuré met un terme aux versements d’assurance-vie en rente viagère, et le capital peut être entièrement perdu. Les versements d’assurance-vie sous forme de rentes viagères différées sont néanmoins les plus appréciées des salariées, qui ont ainsi la possibilité de se constituer en douceur un complément de retraite.
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