Le groupe, quant à lui, s'est formé en 1999 sous le nom de Concrete Fongus et a changé de nom en 2000. Fire Work est leur sixième album.
Je n'en avais jamais entendu parler avant que ma curiosité me pousse à en savoir davantage sur ce que peut bien donner le punk québécois. Pourtant, ils sont sur Fat Wreck depuis 2005, ce qui n'est pas un gage de qualité, mais au moins de popularité. C'était sans grande conviction que j'ai mis à disposition mes oreilles pour une écoute attentive. En effet, la pochette rappelle plutôt un groupe de pop-rock, même si elle n'est pas dégueu.
Mais les premières notes de "We used to be love" dissipent les doutes. C'est bien du punk rock à la sauce américaine, donc mélodique. On trouve cependant quelques morceaux à tendance pop, du style The Rifles, sur "Chub-e and hank III / Vimont stories part II". La suivante "So long and thanks for nothing" se comparait plus à Against Me. J'ai aussi envie, "pour l'fun", de citer Social Distortion qui doit être une influence majeure.
Il y a quelques allusions au hockey LE sport national au Canada. On entend sur "No friend" le son d'une télé où l'on entend des commentateurs d'un match de hockey ou l'excellent dernier titre "Reinventing Ron Hextall (I don't want to say goodbye)" à propos d'un ancien joueur canadien.
J'ai découvert ce groupe de Montréal... à Montréal. Original non ? La Ville fait partie de l'identité du groupe, puisque le nom est celui de la rue principale de Montréal. Dans cette artère se trouvent les principaux magasins, mais aussi des salles de concert, dont l'Underworld (de nombreux shows hardcore y on lieu) et surtout les Foufounes Electriques haut lieu du punk rock montréalais, Québécois, et Canadiens. Ce café concert existe depuis 1983 (à l'époque, c'était un centre culturel) et a vu passer de nombreuses pointures durant ses 27 ans d'existences.
Le groupe, quant à lui, s'est formé en 1999 sous le nom de Concrete Fongus et a changé de nom en 2000. Fire Work est leur sixième album.
Je n'en avais jamais entendu parler avant que ma curiosité me pousse à en savoir davantage sur ce que peut bien donner le punk québécois. Pourtant, ils sont sur Fat Wreck depuis 2005, ce qui n'est pas un gage de qualité, mais au moins de popularité. C'était sans grande conviction que j'ai mis à disposition mes oreilles pour une écoute attentive. En effet, la pochette rappelle plutôt un groupe de pop-rock, même si elle n'est pas dégueu.
Mais les premières notes de "We used to be love" dissipent les doutes. C'est bien du punk rock à la sauce américaine, donc mélodique. On trouve cependant quelques morceaux à tendance pop, du style The Rifles, sur "Chub-e and hank III / Vimont stories part II". La suivante "So long and thanks for nothing" se comparait plus à Against Me. J'ai aussi envie, "pour l'fun", de citer Social Distortion qui doit être une influence majeure.
Il y a quelques allusions au hockey LE sport national au Canada. On entend sur "No friend" le son d'une télé où l'on entend des commentateurs d'un match de hockey ou l'excellent dernier titre "Reinventing Ron Hextall (I don't want to say goodbye)" à propos d'un ancien joueur canadien.
C'est du punk propre, malgré la voix cassée. Certains détesteront, d'autres adoreront ; je fais parties des seconds.
http://www.saintecatherines.com