In L’homme qui arrêta d’écrire, Marc-Edouard Nabe, 2010.
Pour ma part j'en juge à l'aune de mes connaissances.
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Le marché de l'informatique a connu plusieurs révolutions en moins de 20 ans. La diffusion vers le marché des entreprises (B2B), l'arrivée du marché des utilisateurs finaux (B2C), la mise en oeuvre de grossistes et distributeurs entre constructeurs et clients puis la vente directe...
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Le marché de l'automobile où nous verrons apparaître des places de marché de ventes directes supprimant le travail des succursales ou agents.
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L'agriculture s'est mise dans les mains de la grande distribution, seule une reprise en main de leur réseau de vente et une intervention directe sur les bourses des matière première(blé...) leur permettront de survivre.
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La culture est un marché parce que Monsieur Nègre, Patron d'Universal est là sans valeur ajoutée aujourd'hui. Les majors musicales ou éditeurs ne savent lancer que des écrivains acalamae et aphone ou déjà connus.
L'Art n'est pas la culture. Seul l'art moderne se juge à l'aune du fric et des marchands.
Le mouvement brownien de l'intérmédiation et de la désintermédiation se fait sous l'oeil rigolard de celui qui sait et prend plaisir à regarder s'agiter les privilégiés d'un moment.