* zut, je vais lui donner un peu plus de popularité, ma voisine ne le connaissait pas… Je l’ai rassurée : elle ne perd rien. La preuve en image. Et en texte.
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Comme je m’ennuyais ferme, ces jours ci, ayant malencontreusement décidé de prendre le pont, j’ai décidé de m’atteler dans ce billet à ce que je sais faire de mieux : taper sur un con. Mais là, attention, pas de demi-mesure, c’est du chef d’escadrille…
(Je ne vois pas pourquoi je me gênerais, vu que l’olibrius ne perd pas une occasion d’en faire autant, même quand je demeure silencieux et respectueux à son endroit, résolu à ne pas répondre à ses absurdes provocations… Quand ce ne sont pas de pures et simples calomnies que je me réserve éventuellement le droit de garder pour les besoins de la justice, quand j’aurais de l’argent à perdre…et davantage de connerie à dépenser).
Caporal chef d’une blogosphère consensuelle qui se prend pour le nombril du web au point de décider en meute la disgrâce de tel ou tel, le mentor disgracieux et atrabilaire de la coterie wikiesque qui a pour délicieux prénom homonyme celui de notre cher tyran ne cesse de m’épater par tant de rage à salir, insulter, à détruire, à se moquer méchamment, à lécher les plus démunis parmi nos amis blogueurs ou simples commentateurs de son fiel hautement cynique qui se voudrait être de l’humour. Et comme le pensent communément tous les cons mégalos, seul le sien est drôle, car lorsque d’ autres en font preuve, c’est forcément moins bien. Voire de la merde à ses yeux… de vache épanouie par temps de fleurs de houblon consommées en pure perte… Enfin, il est utile de préciser que je ne parle pas là de son poids. C’est interdit. Et si mesquin…
Quand on a pour répugnant ami (ou cruel affidé, à vous de choisir) quelqu’un qui en manque tant comme ce grossier Monsieur Goux (et je ne parle pas là de son langage) tout en se vantant d’être de gauche, voir gauchiste, (fieffé usurpateur ! Enlèves ton masque, Raffarin, on t’a reconnu !), on ne se mêle pas de nos affaires en passant sa vie certainement bien vide à dégueuler sur les uns et les autres à longueur de temps. Et le temps, pour toi, c’est sûrement de l’argent… puisque tu n’en perds jamais à débattre, préférant certainement ton seul avis à celui des autres.
Ta hauteur de vue et ton sens de l’analyse m’ont toujours fortement impressionné… Ainsi, déjà, en 2008, tu nous livrais la vacuité de ta pensée quant à ton obsession favorite, dont tu as récemment pollué l’univers bloguistique français. Comme si le monde n’en était déjà pas suffisamment affecté comme cela…
Tout le temps que tu prends à écrire de si longues missives sur les pauvres cons de gauche qui se prennent pour l’incarnation de Jésus Christ – euh pardon, de la vraie gauche – là où d’aucuns quant à eux préfèrent se consacrer à des tâches plus soucieuses de l’intérêt commun, ne t’en déplaise… Je ne suis rien de ce que tu crois. La faiblesse de tes neurones est manifestement plus habile à recenser des liens ou à sonder les viscères de la bête techniquement parlant mais hélas pour toi bien plus malhabile à saisir la complexité d’un être humain, qui ne se lit pas que dans ses outrances, ou ses erreurs.
Ceci écrit, je comprends que tu préfères t’y attacher : c’est beaucoup plus facile de se vautrer en meute dans la connerie et la suffisance que d’agir et de tenter de construire ensemble, à gauche. Même si pour toi, c’est un peu maladroit. Tout le monde ne peut pas être un génie de l’informatique.
J’aimerais avoir la force de t’ignorer, mais devant une telle propension à faire du mal, surtout à ceux et celles que j’apprécie (moi, je m’en fous, tes attaques me renforcent, j’étais avant toi si susceptible…), tout en dénigrant d’un revers de la main dont l’œil est volontiers méprisant les valeurs les plus essentielles à mon regard, je ne pouvais pas rester sans voix, ce serait un délit de non assistance à personne ne danger.
A vous la suite… j’en appelle à tous ceux qui font les frais assez régulièrement de ce malotru mal embouché à l’haleine fétide empuantie par de la mauvaise bière dont il lèche ses mots jusque dans les traces composées par les flux putrides que laissent ses blogs dans l’espace autrefois plus propre d’internet avant lui.. :
Ainsi, Bibi, déjà cité (mais ça c’est facile, il est plutôt proche…), mais également Dominique, plus lointain cousin, et tous ceux et celles qui se reconnaissent dans ce thème si fécond.
Post-scriptum : oh zut alors ! J’ai totalement oublié de tenir compte de tes conseils de blogage, mon cher Maître… Pauvre de moi. Je ne serai jamais sur le haut du podium, à force de tant de négligences coupables.
PS 2 : je pèse 95 kgs et mesure un mètre 87…. mon gamin. (3 ans de moins, tu me dois le respect).
PS 3 : ne vois surtout aucune allusion à l’illustration de billet. Rien à voir avec toi, n’est-ce pas ? Ne te dispense pas cependant d’interprétation sauvage : tu y excelles… (j’ai pas dit tableur, obsédé !).