Le voyage.

Par Stroska

Le voyage ne permet pas d’échapper à soi-même. Le corps est l’occasion de tous les péchés. La mort est une délivrance, mais elle vient toujours avant que l’homme ne soit prêt, et l’homme continue sa vie durant à être vil et misérable.Le péché a des beautés qui peuvent séduire l’artiste le plus raffiné. La perception du beau qui fait la grandeur de l’homme est à la fois satanique et divine. Elle peut être un appel purement matériel qui conduit à la faute, elle peut-être une invitation d’en haut vers le bien.

L’amour de la femme qui bouleverse les cœurs peut être infâme.