L'affiche du FAT Festival, ce soir au Phare

Vitalic V Mirror, Jamaica, Quadricolor, Goose, The Subs Live, Toxic Avenger : le Fat Festival organise une grosse soirée, unique et à ne pas manquer, au Phare, ce vendredi 12 novembre.

Quelle programmation ! La crème de la crème se retrouve le même jour, sur la même scène, au Phare. De l'électro et de la pop communiquent dans des sets avec comme affiche, Vitalic, Jamaica, Goose ou encore Quadricolor. Ces derniers, avec Jamaica, sont un de nos coup de coeur du Fat.

> Vitalic V Mirror :
L’une des plus grosses pointures du genre électro-tech viendra enflammer le FAT!
Inutile de résister, on ne peut s’empêcher de vibrer aux sonorités échafaudées par l’artiste. Après avoir dopé le rock à la techno, il a donné un coup de fouet au disco avec son nouveau disque “Flashmob”.
À l’instar des Daft Punk ou d’Aphex Twin, ce producteur français visionnaire de la disco a façonné le son de la musique électronique d’aujourd’hui, et son seul nom fait naître une vive émotion chez sa pléthore d’admirateurs.
Avec Flashmob, son deuxième album studio paru à l’automne dernier, Vitalic a confirmé sa place vers les sommets de l’électro française, celle que le monde entier écoute et que l’on n’ose plus appeler French touch.

>Goose :
Mêlant synthétiseurs lancinants et virulents, rythmes irrésistibles et riffs électrisants, Goose crée un son agressif et terriblement dansant à la fois.
À l’instar des 2 Many Dj’s, Justice ou LCD Soundsystem, les Belges de Goose ont décrété que rock et electro pouvaient faire bon ménage sur la piste de danse.
Bring It On, premier album sorti sur le label de Fatboy Slim (Skint), est une invitation frénétique à danser. Il est humainement impossible de rester impassible au son de ce disque gavé aux cocktails énergisants mêlant machines et instruments.
Leur territoire de prédilection est évidemment la scène où leur musique peut s’exprimer avec la plus grande liberté. Les Scissor Sisters ne s’y sont pas trompées et ont laissé les Belges triturer l’un de leurs morceaux, She’s My Man.

>Jamaica :
Jamaica aka Poney Poney. Le poney étant trop usité dans les noms de groupe, le duo parisien décide de changer de patronyme et de se faire appeler Jamaica. Ne vous y fiez pas, leur musique galope toujours entre new wave et rock electro.
Proche du groupe Justice, c’est l’un de ses deux membres, Xavier de Rosnay qui produit leur album à paraître. Un premier single, I Think I Like U2 s’écoute sur le net, clipé par So Me et Machine Molle.

> Toxic Avenger :
Parisien et musicien électro, baignant dans l’ambiance club, The Toxic Avenger (pseudo tiré d’un nanar américain) fait parti de cette nouvelle scène électro parisienne au côté des Justice, Para One ou DJ Mehdi. Sur scène, il se cache derrière un masque, comme Fuzati ou Daft Punk, délivrant son gros son à base de grosses basses saturées.

> The Subs Live :
Avec un humour typiquement flamand, les trois excités de The Subs s’en prennent de manière frontale et ironique à une scène techno devenue un peu trop cérébrale. Ils balancent bombe sur bombe avec un sens de la fête et de l’excès que l’on croyait disparu.
Signé sur le label Lektroluv, leur album réunit new wave, big beat, transe, musique industrielle et disco, rappelant ce que l’électro doit à son passé quand il s’agit de se bâtir un futur qui lui est propre.

> Quadricolor :
Quadricolor naît d’un pari adolescent au détour du conservatoire de Nice : user d’une virtuosité rigoureuse et classique sur des covers irrationnelles de leurs influences majeures : Late of the Pier, Kaiser Chiefs, Arctic Monkeys et tant d’autres. Une blague video récurrente sur le web, qui attire de plus en plus de fans de leurs reprises acoustiques très personnelles !
De ces talents d’arrangeurs atypiques, découle tout naturellement l’envie de composer : Guillaume, Billy, Romain et David révèlent alors une alchimie mélodique rare et mature. Leur pop anglophone, progressive et décomplexée, se joue de l’étiquette «Baby Rockers» chère à notre scène française en ébullition, pour lorgner plutôt vers des songwriters U.S. s’encanaillant dans le Nothing Hill cosmopolite du Swinging London...
Leur dernier E.P «Euphony» flirte doucement vers une pop psychédélique plus électronique, située quelque part entre Vampire Week-End, Metronomy et Grizzly bear, où nos multi-instrumentistes déversent la même effervescence jubilatoire que dans leurs prestations lives exaltées.

> Eye Dolls :
Nouveau duo de la scène Electro, Eye Dolls flirt avec la fusion des genres. Véritables alchimistes sonores, ils extraient de leurs influences respectives l’essence d’un son qui leur ressemble. Du Rock, au Club, en passant par des styles aux touches plus underground. En live, cette décoction révèle un show survoltant empreint de leurs productions.

Vendredi 12 novembre à 19h30 au Phare

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