Même au sommet de l'Etat, un chef doit montrer l'exemple

Publié le 11 novembre 2010 par Dubruel

« Le fils de François 1er, Henri II, eut comme favorite la très influente et superbe Diane dite la "chasseresse", veuve Brézé. Elle reçut (en remerciement de tout) un don illicite : les domaines et le château de Chenonceau.

Reconstruit par le financier Bohier en 1513, acheté par François Ier en 1535, ce château appartenait désormais à la Couronne et comme tel était inaliénable en vertu d’un édit royal de 1539.

L’auguste femme s’entoura de précautions dignes d’un juriste éprouvé afin d’éviter qu'un individu  mal intentionné la priva de cette récompense royale.

(Erlanger, op. cit)

(à suivre sur ce blog, peut-être, l'imbroglio rigolo judiciaire)