Et le temps recouvre de ses ailes l'orphelin qui perdu dans la nuit n'ose pas faire marche arrière, le protégeant des auras méprenantes,
Émanations meurtrières, pour lui comme le chlore a l'organisme.
Le sens de ses propre paroles se tait dans un vide éternel et les divagation l'entraine vers la vérité.
Que se taise les inaudibles, car leur inutilité frappante n'en demeure pas moins arrogante.
Ou se situe l'enfant dans le Mensonge? L'Absurde n'est-il pas la seule ligne d'horizon vagabonde a l'esprit? Quel sens donner a la vie? Qui peut qualifier un fait de dénuer de sens alors que nul n'a la science infuse?
L'enfant perdu se laisse aller, et dans le gouffre de l'envers se redresse, comme baignant dans son élément.
C'est son passage, son rite, vers le monde des hommes.
Le monde du faux. Le grand inégale.
Il se dresse la, fort et fier, libre de toute contrainte.
Son imagination prolifère à n'être plus qu'un univers a part entière.
Le Rite sera longs, la route vers l'endurance nécessite une pointe d'amertume, et une marée de souffrances.
Quelle plus belle chimie que celle des sentimentaux, qui d'amour a souffrance ne voye qu'un court sentier qu'ils parcourent en courants, a longueurs de journée, tel les facteurs de l'espérance perdu.
Où se placera l'enfant dans le combats des hommes...?
Lui seul pourra le savoir...
Dur tristesse de l'envol du fécond, abandonnant les aimés aux abords d'un écart de similitude meurtrière...
Souffrance, forgeronne de l'homme droit....