Premièrement, il faut bien définir ses capacités de remboursement afin que la nouvelle mensualité ne déséquilibre pas votre budget mensuel (même s’il y a des revenus locatifs : n’oubliez pas qu’être propriétaire est synonyme de taxe foncière annuelle mais également de charges mensuelles et éventuelles dépenses de co-propriété). Il est important de ne pas se référer uniquement au plafond d’économie d’impôt pour choisir son investissement.
Voici quelques astuces à ne pas oublier lorsque l’on investit dans l’immobilier locatif :
- L’achat d’un petit appartement est plus intéressant fiscalement, car son rendement est meilleur qu’un bien immobilier de grande taille.
- Cependant, dans les petits appartements (studio et F2-F3), le turnover important peut entraîner des travaux de rafraîchissement plus fréquents et des mois sans loyer lorsque le bien n’est pas occupé.
- En terme plus value, la revente d’une maison sera presque toujours la plus intéressante.
N’oubliez pas que l’immobilier n’est pas un produit financier : raisonnez donc en pensant à la constitution de votre patrimoine plutôt qu’à votre fiscalité !