Voici le résultat :
"Si nous n'accédons pas à toutes les données dont disposent les autres dans le monde, nous ne pourrons avancer au même rythme" car il existe aujourd'hui une "effervescence qui reflète toute la dynamique de la publicité, du journalisme, de la communication mais aussi de la création ou encore de la gestion d'entreprise" qui a vu des jeunes apparaitre et qui ont "créé mon blog il y a un an pour m'exprimer et diffuser mes points de vue au grand public".Cette dynamique de vouloir aller de l'avant prend tout son sens dans le net car nos internautes n'ont rien à envier aux internautes français évoluant "Dans un net en libre service, chacun se sert d'images, de mots, d'idées mais rend hommage au créateur, au galeriste. Celui qui dégaine le premier la bonne info, la belle image, la vidéo la plus hilarante a gagné de la notoriété; on le repère puis on le suit".Et même si en France "Aujourd'hui, les grandes marques, tout comme les politiques, redoutent le pouvoir du web et tentent de cerner ces nouveaux héros pour mieux les séduire", les internautes tunisiens peuvent très bien prétendre au titre de "accélérateurs de particules" car eux aussi sont "situés à des carrefours, ils ont la capacité de voir leurs informations reprises et répliquées" et chacun pourra dire : "Je parle à des masses".Enfin, je suis content de voir que le web et ses acteurs reviennent de façon fréquentes dans les colonnes de la presse papier. Déjà, Afrique Magazine, via son journaliste Emna Ben Jemaa n'est pas à son premier focus sur cette nouvelle vague et des publications comme le magazine Tunivisions et l'hebdomadaire Tunis Hebdo en ont fait une rubrique régulière.
*Afrique Magazine a une couverture différente par pays africain.Extraits Afrique MagazineExtraits Le Figaro Magazine