Ils sont arrivés à cette conclusion en observant la longueur de phalanges fossilisées (ndlr : la testostérone agit sur la longueur de l'annulaire) des hommes de Néanderthal et de l'homme d'aujourd'hui.
Cette hormone, diffusée en grande quantité dans le corps, influençait énormément la dimension psychologique des hommes préhistoriques. Ainsi leurs rapports étaient plus fréquents et plus bestiaux mais ils avaient également un faible pour la polygamie !
Ces tendances sociétales sont donc corrélées au taux d'hormones qui décroît avec l'évolution de l'homme. Alors mesdames, enviez-vous vos chères ancêtres ?