Stade français, qu’importe le flacon…

Promis, demain j’arrête. Croix de bois, croix de fer… le Stade français ne sera plus ma cible. Seulement, pour m’offrir autant de sujets de posts, même Sonny Bill Williams peine. Naïvement, je pensais qu’avec le maillot léopard, le club de la porte de Saint-Cloud avait atteint le fameux 10 sur l’échelle de Richter de la mochitude. Tatata… les huiles de la com’ en avait encore sous la pédale. Voici la cuvée Stade Français. L’idée n’est pas nouvelle, je tiens pour preuve dans ma cave une magnifique bouteille Mexico 1986  avec sur l’étiquette l’équipe de France de football de l’époque. Vintage, mais pas forcément dans le sens où l’entendent les producteurs de porto. Voici désormais les récoltes du Stade français. Deux cuvées vinifiées par Gérard Bertrand, ce qui constitue plutôt un gage de qualité, mais décorées au Stade ce qui… Fleur de lys pour le blanc, Foule pour le rouge, 8,95 € chacune. Faut-il être encarté au Stade français pour pouvoir les déguster ? Même pas ! Elles sont en vente libre. Quelqu’un veut-il y goûter ?