Le mariage d’Amélie et Senna dans la dernière saison de Secret Story continue à faire des vagues. Suite aux propos de Senna expliquant qu’il avait été forcé par la production, Laurent, le prêtre qui a béni l’union sort de sa réserve dans un communiqué.
« Je me dois de réagir concernant les propos tenus dans une certaine presse concernant l’union de deux candidats de la 4ème saison de Secret Story sur TF1. Je confirme ce que la production affirme par la voix d’Angélique Sansonnetti, directrice artistique de l’émission : Personne n’a jamais forcé personne. N’ayant pas pour habitude de mentir et encore moins d’utiliser une “langue de bois”, j’ai avant l’émission, rencontré longuement les deux candidats et je leur ai posé toutes les questions qui s’imposent : Est-ce un vrai désir d’union ? Est-ce que vous vous aimez vraiment ?
Les candidats m’ont répondu oui et semblaient pressés et heureux de voir arriver cet événement mais anxieux quant à la nomination de Senna qui, s’il était évincé par le public ne pourrait alors pas s’unir à sa prétendante.
Je n’ai par ailleurs jamais employé le mot “mariage” ? Un mariage à proprement dit sur le sol Français n’est validé que par la république et passe donc par la mairie. Aussi devant les titres “mariage bidon” ou encore “la prod m’a forcé”, je m’offusque car pour avoir préparé cela avec la production et les intéressés deux jours avant la dite cérémonie, je n’ai vu personne forcer qui que ce soit. Ce couple me semble vrai, authentique. Leur union a ému beaucoup de téléspectateurs car ils étaient authentiques et j’ai moi-même ressenti de l’émotion durant la cérémonie.
Amélie m’a demandé lors de la finale en loge de venir bénir cette union après être passée devant le maire de Liège, je le ferai avec grand plaisir car je crois en ce couple. Mais dans l’attente d’avoir de leurs nouvelles, je tenais à préciser cela de manière à ce que les choses soient claires et définitives. »
Voilà qui remet les choses aux claires. Quoique ? On ne saura sans doute jamais réellement qui s’est davantage servi de l’autre. Source ; LeSoir.Be