Désormais cornaqué par un type qui ressemble à un chef des ventes dans la promotion immobilière, ce merveilleux pays file à nouveau du mauvais coton au point que d’ici quelques temps je vous mets mon billet qu’une « Blair nostalgie » va envahir les esprits. Pour l’heure, l’impact du plan Cameron-Osborne promis à Birmingham n’est vraiment pas évalué y compris par ses promoteurs. Pourtant les conséquences pour les moins nantis risquent d’être tragiques d’ici quelques mois suite à la purge promise. Londres sera d’ici quelques années encore plus une réserve pour indiens électeurs de Cameron, et pour financiers arrogants, le reste de l’immense métropole étant suffisamment vaste pour y faire prospérer, sans limites, les millions de déclassés et de pauvres gens que l’Angleterre se prépare à engendrer.
Londres, le 6 novembre 2010.