C'est la panique générale. Ils ne savent plus à quels saints se vouer. Barack Obama réveille le Ku Klux Klan, aussi bien démocrate que républicain. Stupeur et tremblements. L'homme que la presse hexagonale présente comme Noir, n'en est pas un. S'il gagne au New Hampshire, le monde changera. Ce n'est surtout pas un tremblement de terre.
Ce petit mélange de noir et de blanc fait que, finalement, les deux communautés se reconnaissenten cet as du verbe qui, d'un côté fait penser à Martin Luther King, et de l'autre, à John F. Kennedy.
Du coup, une rumeur vient inquiéter les américains. Le père de la liberté, anticommunautariste, est menacé par les extrémistes des lobbies. En espérant qu'il ne connaîtra pas ce sort, puisse enfin l'Amérique sauvé. Que les faucons et communautaristes se taisent.