Quelque 52 000 taxis, représentant 95 % des véhicules en circulation à Tokyo sont devenus non-fumeurs depuis le début de l’année et ce sur décision des entreprises de taxis, alors que les taxis indépendants se réservent la possibilité d’autoriser leurs passagers à fumer, s’ils le souhaitent car il ne s’agit pas d’une interdiction légale.
Par cette décision, prise selon les entreprises à la demande de la clientèle, les taxis japonais rattrapent un retard par rapport aux autres moyens de transport, déjà devenus non fumeurs depuis un certain temps.
Au Japon les extrêmes se côtoient car, s’il est interdit de fumer dans les lieux publics et même dans certaines rues en ville, les bars et restaurants japonais restent fumeurs mais peut-être pas pour longtemps. Car, après un nombre croissant de pays de l’Union européenne, le parlement turc vient d’adopter à son tour une loi interdisant de fumer dans les bars et restaurants.