Image : Spencer Platt / Getty Images
Image : REUTERS / Eduardo Munoz
Ce soir, nous ne commentons pas la composition, ni les couleurs ou encore le choix du photographe. Car elles sont impeccables ces images. Donc, ce soir, juste quelques mots pour contextualiser ces photos. Un même pays, Haïti. Deux catastrophes en dix mois, le tremblement de terre en janvier et une épidémie de choléra dix mois plus tard. Maintenant, la tempête Tomas atteint Haïti, dès ce soir.
Deux photos pleines de douleur qui saisit, consterne et brigue une compassion. Deux Haïtiens sinistrés qui ont perdu des proches, noient leur douleur dans larmes derrière leur main portée sur le front. Les malheurs attristent les âmes. Mais ces images, elles sont si belles. Nous éprouvons un plaisir coupable de regarder ces images, un sentiment de voyeur, témoin de ces moments si personnels qu’on ne veut peut-être personne qui les regarde.
En terminant, un petit mot à ceux qui nous aiment, qui fréquentent notre blogue :c’est peut-être le dernier billet avant plusieurs semaines. Car nous prenons la route dès lundi pour vendre quelques pièces de notre création artistique aux intéressés, pour faire un peu de sous afin de continuer à créer. A+