Je ne sais que dire... Je n'ai même pas envie de rappeler son bilan de ministre au début du quinquennat Sarkozy, ou la petite histoire de la mission sur la mondialisation fortement rémunérée à Christine Boutin ("parce que c'était un travail difficile qui mérite salaire", s'était elle pitoyablement défendue).
Et soupirer de voir que certains n'ont honte de rien. Que les scrupules et le sentiment du travail bien fait sont décidément des objets inutiles pour beaucoup... Et que malgré tout, on peut se présenter sans rougir à une élection présidentielle...
(maintenant, attendons quand même le morceau de viande que va recevoir Christine Boutin pour, comme en 2007, retirer sa candidature au profit de Nicolas Sarkozy... Attendons...)