Djak, on vous en parle depuis quelques temps déjà. Après la chronique, le live report, il nous semblait normal de partir à la rencontre de ce groupe dont le rock oscille entre les Kooks et Phoenix. Ils revendiquent clairement leur appartenance à la mouvance anglo-saxonne du rock. Ils sont français, d’Angers pour tout vous dire, et pourtant chante en anglais. Évidemment, il ne faut pas croire que l’anglais n’appartient qu’aux anglais ! Djak c’est un peu d’influence d’Outre-Manche, avec ce quelque chose de typiquement français qu’on ne saurait expliquer, eux aussi d’ailleurs ne l’expliquent pas tellement : on appellera ça la French Touch !
ORAF choppe le groupe à la sortie de leur set, à l’International samedi dernier : direction la petite loge des artistes. Si l’interview commence doucement et sérieusement avec Mathieu (chanteur et guitariste), celle-ci dérape très rapidement : coupure, interruptions intempestives, puis arrivée au compte goutte des autres membres du groupe les deux Vincent (l’un à la basse, l’autre à la batterie), et enfin de Nicolas. Et là, ça devient le gros n’importe quoi. C’est sur une phrase hautement philosophique qu’on vous laisse suivre l’interview pas comme les autres de Djak.
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