Alors que le Président vient de signer cet accord historique, certaines voix s'élèvent contre cette "perte de souveraineté".
Mais dans le cadre de capacités financières en réduction, de montée en puissance de nouveaux acteurs en matière de capacités militaires (pour ne pas dire nucleaire) dans le monde, ne faut-il pas au contraire reconnaître la perspicacité des conseillers du Président ?
Car il ne faut pas croire que la France aura durablement la capacité à rénover son armement de manière totalement indépendante et à un rythme suffisant pour suivre celui d'autres grandes puissances militaires, notamment de régimes totalitaires.