Blue Crush

Hawaï, Anne Marie grande surfeuse va tenter une nouvelle compétition à laquelle elle avait participer quelques années auparavant et avait manqué de peu de mourir. Voilà qui est gai ! Elle et ses amies colocataires bossent dans un grand hôtel en tant que femme de ménage pour survenir à leur besoin tout en continuant de surfer et c'est là qu'elle va rencontrer un séduisant joueur de football américain.Le film oscille donc entre compétition sportive et romance mais il tourne bien plus autour de surf et de l'océan que du beau et riche sportif. Ici pas de grandes déclarations, pas d'humour pourri, pas de scènes romantiques qui sonnent faux, on est assez loin de la comédie purement romantique, c'est certain, le sujet du film n'a pas l'air d'être le béguin d'Anne Marie mais plutôt de sa vie 10 jours avant la compétition, sa vie qui inclue, amie, famille (c'est à dire petite soeur qui commence à mal tourné et qui énerve), ex-petit-ami, préparation à la compétition, vieux souvenir qui revienne en mémoire...Le film est sympathique et certaines personnes de la gente masculine seront sans doute heureux de voir Kate Bosworth, Michelle Rodriguez et compagnie en bikini pendant, pour ainsi dire, tout le film. C'est un peu pour l'actrice aux yeux verrons que je me suis lancer dans ce film aussi et il n'est pas tout à fait désagréable.Les caméras semble aimer l'eau salé vu le nombre impressionnant de prises sous-marine, prises qui ne donnent qu'un peu plus une impression de réalité vis-à-vis du surf.

Une musique estival vient couronner le tout, rendant le film légèrement has been puisque l'on s'aperçoit rapidement que les chansons et les airs sont cataloguer début années 2000... voilà qui vieillira mal !On a donc presque pas l'impression de perdre son temps devant ce film... le problème c'est qu'il y a un "presque" et que si ce savant mélange de film concernant les compétitions sportives et comédie romantique n'est pas si courant que ça, il reprend tout de même des ingrédient vu et revu et le film ne décolle pas et n'arrive pas à convaincre et à faire adhérer le spectateur à cent pour cent. On ne demande pourtant qu'un petit peu d'originalité.
11/20
Silice