J'apprends aujourd'hui (2. Novembre 2010) la naissance au ciel du poète Georges Haldas. Nul doute que Georges eut préféré ces mots (qu'il connaissait peut-être) utilisés dans l'Eglise orthodoxe (où il n'y a plus de mort) à ceux convenus de ce monde : "décès", "mort" ou l'euphémisme diabolique "disparition" !
Inutile donc de consacrer une "chronique nécrologique"...