Une astuce: si vous préférez lire en ligne avec deux pages face à face (si donc vous avez la chance d'avoir un bel écran), il vaut mieux suivre le lien Calaméo - le fichier compte une page blanche de plus, après la couverture, grâce à laquelle les articles de plus d'une page seront vus avec la présentation du magazine, telle qu'elle a été conçue.
Les autres liens viendront en leur temps, c'est-à-dire, je pense, très rapidement. Ils seront tous disponibles sur la page dédiée à la revue.
Et voici donc l'éditorial, pour me faire pardonner deux jours de retard (par rapport à ce que j'avais prévu).
À l’heure du bouclage,
Internet rend l’âme…
Les joies d’un bouclage mensuel sont diverses – autant que celles d’un bouclage quotidien, hebdomadaire, ou tout autre rythme de parution que vous pourrez imaginer. Il y a la copie qui traîne, promise pour avant-hier, et pourquoi ce n’est pas encore là ? Je me le demande, je me réunis avec moi-même et je m’engueule. Puisque, jouant ici à peu près tous les rôles (à un article près, qui a failli arriver en retard mais s’est pointé le jour dit, merci Nicolas), je ne peux m’en prendre qu’à moi-même.
Et un peu aussi à mon fournisseur d’accès Internet, qui m’a laissé presque complètement en rade pendant les trois jours prévus pour terminer ce deuxième numéro de C’est dans la poche. Bon, c’est le week-end, lundi est férié. La hotline est ouverte, mais seulement pour prendre les appels. En ce qui concerne la solution du problème, il faudra attendre mardi. Le 2. Un jour de retard sur mes prévisions.
C’est qu’il manque encore quelques couvertures de livres, puisées avec difficultés sur les sites d’éditeurs grâce à une connexion 3G+ de secours. Avec une carte prépayée dont la validité a expiré il y a un mois. Qui lit les indications en petits caractères ? Pas moi. Jusqu’à maintenant. Ça va changer…
À l’exception de ces quelques contretemps, pourtant, tout va bien. Le numéro que vous venez d’ouvrir ressemble, un peu plus que le premier, à ce que je pouvais espérer. Vous me direz ce que vous en pensez.
L’accueil, le mois dernier, a été bon. Excellent, même. Il semble que je sois le seul à avoir vu tous les défauts de la livraison d’octobre. Plusieurs blogs ont signalé l’existence de C’est dans la poche qui, du coup, a pu commencer à exister vraiment, pour au moins 2000 lecteurs.
On m’a suggéré une édition au format epub. Au moment où les liseuses se répandent à toute allure, c’est certainement une bonne idée. Mais il faudrait, pour réaliser cette déclinaison de la version PDF, faire reculer les limites de mes compétences en informatique. Cela viendra peut-être.
La priorité reste cependant de proposer, dans une présentation agréable (qui ne va pas non plus jusqu’à l’élégance que pourrait obtenir un metteur en page digne de ce nom), un contenu solide, basé sur la lecture critique des livres. Et de piocher chaque mois dans l’abondante production des éditeurs au format de poche.
La présence d’un dossier consacré à une collection, un reportage sur «Lire en Poche», des citations au second degré et une page renvoyant vers Internet (quand cela fonctionne) sont les nouveautés de ce deuxième numéro. Avec la présence de quelques auteurs grâce à leurs photographies.
Rendez-vous dans un mois.