Seul
dans le vol dispersé des mouettes
maître des miettes
de mon cri
déjà
de l’autre côté
la nuit s’enfièvre nue
le noeud coulant de l’horizon
serré sur le soleil
et je n’aurai toujours rien dit
(Werner Lambersy)
Seul
dans le vol dispersé des mouettes
maître des miettes
de mon cri
déjà
de l’autre côté
la nuit s’enfièvre nue
le noeud coulant de l’horizon
serré sur le soleil
et je n’aurai toujours rien dit
(Werner Lambersy)