haie claire des cils
tant ta douceur
vers le miroir
gorge de labour riche
aux longs déplacements musqués
de la lenteur
tes pêches appétits
soudain pétrels
plongeants
la peau
serrures des mains
qui s’écartent comblées
(Werner Lambersy)
haie claire des cils
tant ta douceur
vers le miroir
gorge de labour riche
aux longs déplacements musqués
de la lenteur
tes pêches appétits
soudain pétrels
plongeants
la peau
serrures des mains
qui s’écartent comblées
(Werner Lambersy)