La crasse des rues Toulousaines encouragée par le Maire Pierre Cohen!!

Saint du jour : Saint Quentin alias Halloween

Contrepèteries : Ces Messins adorent contempler les cieux.

   Ce chauffeur Israéliens a un bus mal préparé.

   Le commissaire est utile au poste.

   Ce jeune homme danse comme un ballot.

Dicton Français : Qui trop écoute la météo, passe sa vie au bistrot.

Dicton Juif : L’homme sage est celui qui trouve à s’instruire avec tous les hommes.

Dicton Africain : Qui est né dans la brousse ne connaît pas la frousse.

Dicton Occitan : Auba roja ; vent o ploja  Aube rouge; vent ou pluie

Proverbe Chinois : Si tu crois tout ce que tu lis, tu ferais mieux de ne pas lire.

La crasse des rues Toulousaines encouragée par le Maire Pierre Cohen !!!!

Cela fait déjà quelques billets que j’écris sur la propreté de Toulouse. Il y a eu un grand effet de manche et une annonce concernant l’amélioration de la propreté….au Centre de Toulouse. Mais force est de constater que des personnes entretenues pas la municipalité Toulousaine, entretiennent, elles, la crasse des rues de notre ville.

Les Minimes, quartier de Claude Nougaro, a l’énorme privilège de voir un squat qui apparemment est tout à fait légal, puisque entretenu à coup de subventions publiques. Les Pavillons Sauvages, tel est le nom de ce squat installé dans une partie de l’ancienne caserne rues Chaussas et Jean Dagnaux. Cela fait maintenant plus de trois ans que ce squat existe, abritant maintenant une trentaine de squatters permanents ainsi que de nombreux habitants de passage arrivant avec sac à dos, duvet et chiens.

Ayant déjà eu des contacts avec certains « habitants » des pavillons Sauvages, cela ne serait pas dérangeant car ils sont, au demeurant charmants.

OUI MAIS ! Car il y a un, voir plusieurs MAIS !

Ces gens qui ne payent ni loyer, ni électricité, ni eau, ni gaz (tout cela payés par la communauté donc par les électeurs payant eux des impôts), vivent en plus aux crochets de la ville à coup de subventions. Quoi de plus facile que de créer des associations puis de demander des subventions à la ville. C’est tellement facile que les Pavillons Sauvages abritent, pour une trentaine de personnes, la bagatelle de 55 associations au minimum. Ce n’est pas moi qui l’invente, je ne fais que reprendre les chiffres annoncés sur les sites des Pavillons Sauvages et Olibanum. Eh oui ! ils n’ont pas d’argent pour subvenir à leurs besoins mais ils ont des sites internet. Lorsque les associations sont créées, alors quoi de plus facile que de demander des subventions à la ville, surtout lorsqu’on sait que la municipalité ferme les yeux sur l’existence de ce squat. Mieux encore elle l’entretient et lui ouvre les bras en l’accueillant sur le site de la Mairie de Toulouse :

http://www.toulouse.fr/video/ville-devant-soi/-/asset_publisher/g7ZF/content/27805

Pourvu que cette adresse ne soit pas supprimée demain !

Sur ce site de la Mairie de Toulouse, vous pourrez connaître une partie des activités d’un squat qui est également présent dans la vie du Conseil Général et du Conseil Régional.

Mais là ou c’est encore plus fort, c’est que ces personnes entretiennent dans le quartier une partie de la saleté repoussante que la Mairie est incapable de supprimer. Des personnes proches des locaux du squat ont déjà à pâtir des bruits des « orchestres » et des spectacles. Mais vous pouvez voir ce qui attend les habitants du quartier après les libations des habitants des Pavillons Sauvages.

Ce n’est que le résultat d’un Vendredi soir, beaucoup de bières mais pour des gens qui n’ont pas d’argent pour payer un loyer ou l’électricité, Champagnes et alcools forts de marques, en particulier whisky. Et qu’on ne me dise pas que ce ne sont pas eux qui pratiquent ces dépôts d’ordures, une affiche présente dans les tas de bouteilles provient du squat, il y a exactement les mêmes affichées à l’intérieur..

Il faut dire que bien encouragés par la Mairie, à être engraissés à ne rien faire, nos squatters ne prennent même pas la peine de faire les gestes citoyens de prendre les bouteilles pour les déposer dans les bacs prévus à cet effet. Ils ne payent rien, pas d’impôts, mais ils salissent tout. Sans compter les autres nuisances.

Et s'il n'y avait que cela, ils prennent les endroits réservés aux poubelles pour des dépôts permanents d'ordures, patr exemple devant l'immeuble jouxtant le squat.

J’ai une idée, Monsieur le Maire, ne pourrait-on pas employer nos squatters à nettoyer le quartier des Minimes où ils sont installés ? Et d’une pierre deux coups, ils nettoieraient aussi les abords du Canal du Midi qui a été livré aux rats !!!! Mais cela est encore une autre histoire à mettre au passif d’un maire vraiment en dessous de tout.

Tout cela se règlera aux prochaines élections municipales.