Je suis Jean-Michel Zetouf, 35 ans, Cariste vivant dans un sympathique village qui s'appelle Saint-Mars-la-Jaille .
Je voudrai apporter mon témoignage en qualité de philosophe de campagne. Je sais que le seul becherelles que j'ai pris dans mon enfance c'est sur la gueule alors je vais essayer de vous expliquer avec mes mots à moi.
Je n'ai pas beaucoup d'expérience avec les femmes. D'ailleurs je pense qu'on peut vivre sans mais c'est bien d'en avoir une. Mais le jour où ça va pas, vaut mieux se casser !
Ca sert a rien de la battre, même si un jour elle nous plaque pour un oui ou pour un non...
Mais moi j'ai trouvé la solution pour pouvoir la garder, l'empêcher de s'enfuir tout en lui apportant le plaisir dont elle a besoin.
Je me suis mis en couple avec Johana, la femme tronc du cirque de Nouan-le-Fuzelier.
Notre rencontre a été tout a fait originale car elle s'est déroulée dans le tgv.
Je ne voulais pas m'asseoir à la place qui m'était réservée sur le billet car je n'aime pas qu'on m'impose quoi faire. Alors je me suis assis sur une place qui me semblait vide.
Et là j'ai senti quelque chose sous mes fesses qui s'est mit a hurler.
Elle était là, allongée de toute sa moitié de corps sur le siège du train. Je ne comprenais pas sur le coup comment j'avais fait pour pas la voir.
J'ai compris qu'après, qu'elle n'avait pas de jambes et pas de bras...et pas de chocolat.
Confis comme une cerise, je me suis excusé avec mes mots à moi. "Désolé de vous avoir marché sur les pieds...heu les mains...heu.pardon..la tête !"
Elle s'est alors mise à rire pour me dévoiler cette magnifique bouche sensuelle pleine de dents. Je vous épargne les premières pensées coquines qui m'ont traversé le pantalon. Je me suis installé alors sur le siège d'à côté.
Après m'être assurée qu'en plus elle n'était pas dépourvue d'un anus et d'un vagin (je lui ai demandé sans tabous sachant qu'elle ne pouvait pas me foutre de baffes) je me suis donc surpris moi même en train de la draguer et d'avoir la quequette toute dure.
La dernière fois que j'ai eue le zizi comme ça c'était quand j'avais vu Francis Lalanne chanter le petit bonhomme en mousse dans une émission télé régionale.
Passons et revenons à nos brebis.
Elle m'a demandé alors de l'accompagner aux toilettes pour l'aider à refaire ses lacets des chaussures qu'elle n'avait pas au pieds.
Je me suis empressé de l'aider et lui donner satisfaction. Je l'ai alors porté a bout de bras qu'elle n'avait pas pour l'accompagner jusqu'aux wc du train.
Là j'ai fermé la porte a clé et lui ai demandé ce que je devais faire.
Elle m'a alors expliqué qu'il fallait d'abord que je retire sa culotte que je serai obligé de garder de côté puis de la poser sur le trône tout en la maintenant sous les aisselles pour pas qu'elle tombe dans le trou.
C'était assez acrobatique mais tout à la foi aussi excitant.
Je crois que c'est au moment où j'ai retiré sa culotte imprimé par des motifs de fraises que mon coeur s'est embrasé ! Il faut dire que c'est la première fois que je retire une culotte de femme depuis 12 ans...Je me souvenais plus de cette bonne sensation qui m'a foutu la chaire de lait de poule.
Une fois terminé sa petite commission, elle m'a demandé alors de la secouer vivement pour faire tomber les dernière goûtes.
Sur le coup, elle n'a pas rigolé car j'ai surestimé son poids. Elle était plus légère que ce que je pensais alors je lui ai tapé deux fois la tête contre le plafond.
Elle m'a regardé alors avec des yeux rieurs en me déclarant :
"vous êtes le premiers mec à me faire autant de bien."
Après l'avoir écrasé puis à moitié assommé, j'ai pris ça comme un compliment.
Je lui ai remis sa culotte et l'ai ramené à son siège.
Elle m'a donné son numéro de téléphone en me prévenant bien qu'elle ne pourrait peut-être pas répondre tant que ses bras n'auront pas repoussés.
J'ai alors compris que ça allait sûrement prendre beaucoup de temps car selon moi, les bras repoussent moins vite que les jambes...Je l'ai donc invité à la raccompagner jusqu'à chez elle.
Elle a accepté. J'ai alors vidé comme un jeune ado pubère surexcité tout le contenu de mon sac à dos Samsonite au milieu du couloir de train et lui ai proposé de prendre place. Comme je n'avait que des affaires sales et usagées dedans, je me suis dit qu'en fin de compte ça ne me manquerai pas. Et si une femme peut vivre sans veste et sans pantalons...pourquoi pas moi ?!!!
Elle s'est engouffré dans le sac, laissant sortir sa tête pour respirer. Je l'ai mis sur le dos et nous sommes descendu à sa gare de Nouan-le-Fuzelier.
C'est tout naturellement qu'elle m'indiquait à voix haute le chemin pour aller chez elle.
C'était génial, j'avais un GPS humain sur le dos qui me disait avec une voix sensuelle : "au parc tourne à droite...au bureau de tabac, tourne a gauche...continue tout droit sur 100 mètres mais évite les dos d'ânes s'il te plait, j'ai peur d'être trop secouée à l'arrière !"
Nous sommes alors arrivé chez elle. Un petit endroit coquet avec une collection de poupée antiques sans bras et sans jambes de partout dans toutes les salles.
Je n'ai pas osé demandé pourquoi et comment elle avait réussit à leur enlever tout ça...je l'ai juste installé sur le canapé et là elle m'a dit avec un regard plein d'amour : ' prend moi dans toutes les positions !!!' J'ai eue le kiki encore tout dur et je n'ai plus jamais quitté son appartement. J'ai pu réaliser tous mes fantasmes avec elle ! Le pied ! (si j'ose dire pendant son absence.)
je vous écrit ici de son ordinateur qui lui sert jamais car elle n'a pas réussit à télécharger un logiciel de reconnaissance vocal n'ayant jusqu'a présent jamais pu allumer le pc.
Je dois maintenant vous laisser car il faut que je la retourne, elle a eue cette idée folle de se faire bronzer dans le jardin...Bises à tous et merci de m'avoir écouté.
j'attends vos commentaires !
Jean-Michel