Easy Rider ou le road movie culte. On suit deux motards qui traverse les Etats Unis en quête de liberté à contrario de la plupart des autres road movie, ici, on ne sait pas si les motard ont lâché quelques choses pour effectuer ce périples ce que l'on sait, c'est qu'ils n'ont aucune obligation et qu'ils sont donc libre comme l'air, une liberté bonne à voir.
Le film tourné aux alentours de 1968 ne revient pas sur la période hippie, c'est la période hippie que l'on voit devant nous, la quête de liberté, d'amour de communauté, de différence, de paix et de liberté encore.Easy Rider dresse un tableau de l'Amérique à un moment donné de ses bons cotés comme des mauvais. La critique social n'est pas loin, on peut voir entre autre une Amérique qui a peur des différences, de la liberté d'autrui. Magnifique satire donc que ce road-movie qui prend régulièrement le temps de nous montrer les paysages désertiques du mid-west des Etats-Unis sur de la bonne musique de l'époque, car oui, quoi d'autre pour ce film que le début du hard rock ? Steppenwolf et son magnifique et très connu Born to be wild parait conçu pour le film. Sûr que la BO fait beaucoup dans ce film et je vous encourage à l'écouter ou la réécouter (ce sera peut-être l'objet d'un prochain article).Drogue et alcool sont bien sur au rendez-vous, symbole ultime de cette liberté absolue.